« On remarque particulièrement Paul Gaugler, qui apporte à Hoffmann son autorité et son engagement dramatique, avec une voix corsée et percutante » OPÉRA MAGAZINE
« Pollione héroïque dans la grande tradition » CLASSIQUENEWS
« Paul Gaugler un Dante tout feu tout flamme » DIAPASON
Paul Gaugler se forme au chant lyrique à Strasbourg, sa ville natale et obtient son Prix au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris. Perfectionné auprès de Ludovic Tézier, Viorica Cortez, Christian Tréguier et en Académies (Royaumont, Ambronay), il est primé aux concours Armel Opera et Vincenzo Bellini. Il est membre de l’Académie d’Alsace des sciences, lettres et arts.
Saison 2024 / 2025 : Paul Gaugler chante Don José dans Carmen à l’Amphithéâtre de l’Opéra de Paris avec les Voix des Outre-Mer et en tournée en Chine avec les Musiciens Hors les Murs de l’Opéra de Paris. Il chante sous la Coupole de l’Institut de France (hommage à Marc Bloch). Il est le rôle-titre Werther aux Rencontres musicales du Château d’Ainay-le-Vieil. Il est le Ténor de la 9e Symphonie de Beethoven au Cirque d’Hiver, Paris et aussi le Ténor de Earth Home, création de Wang Ning à l’UNESCO, Paris. Il chante le Requiem de Mozart au Théâtre des Sablons, Neuilly. Il donne un Récital avec M. Lebègue et R. Lospied à l’Auditorium du Grand Cahors. En tournée avec l’ARCAL, il reprend le rôle-titre du Pauvre Matelot.
Ses rôles principaux sont Radamès dans Aïda et Pollione dans Norma (Opéra national de Chisinau), Don José dans Carmen (Opéra national de Lviv), Faust dans La Damnation de Faust (cover au Festival de Glyndebourne), le rôle-titre Dante (Opéra de Saint-Étienne, re-création), Boris dans Katia Kabanova, (Grand prix du Syndicat de la Critique) (Théâtre des Bouffes du Nord, Paris et tournée), Lenski dans Eugène Onéguine (Rencontres musicales du Château d’Ainay-le-Vieil), le rôle-titre des Contes d’Hoffmann (Théâtre de Saint-Dizier), Bacchus dans Ariadne auf Naxos (Royaumont). Avec la compagnie nationale ARCAL, il tourne le rôle-titre du Pauvre Matelot et de Janik, héros du Journal d'un Disparu.
Parmi ses précédents rôles : Duca di Mantova, Rigoletto (Opéra de Pilsen, Théâtre National de Szeged), Alfredo, La Traviata (Festival Les Pierres lyriques), le rôle-titre Faust de Gounod (Opéra de Poznan, La Seine Musicale, Paris), Harlekin, Der Kaiser von Atlantis (Grand Théâtre d’Aix-en-Provence) ; Tamino, Die Zauberflöte (Palais des Festivals de Cannes), Octavio, L'Europe galante (Festival d’Ambronay, Opéras de Vichy, Besançon, San Sebastián), L’Instituteur, La Petite Renarde rusée (ARCAL, Opéras de Reims, Besançon, Massy…), Erster Jude, Salome (Opéra de Metz), Heinrich der Schreiber, Tannhäuser (Opéra de Rouen), Brabantischer Edler, Lohengrin (Opéra national de Montpellier), Ganiet, Le Démon (Prix Claude Rostand) et Junger Diener, Elektra (Opéra national de Bordeaux)…
Il crée les rôles de Victor dans Guru de Laurent Petitgirard (Opéra de Szczecin), Evezhiad dans Le Royaume d’Awen de Sylvie Biaggioni (disque), Selim et Charles dans Les Sacrifiées de Thierry Pécou (ARCAL, Opéras de Rouen, Massy, Reims…). On le retrouve au cinéma, dans la BO du film Ténor.
En concert, il chante le Requiem de Verdi et la 9e Symphonie de Beethoven (Opéra de Saint-Etienne), la Petite Messe solennelle (Münchner Symphoniker - Cathédrale des Invalides) ; le Requiem de Dvorak (Philharmonie nationale de Lviv), Threni de Stravinsky (Klangforum Wien - Amphithéâtre Opéra Bastille). Il se produit en récital et gala (Institut de France, Opéra national de Bordeaux, Victoria Memorial Calcutta, Shanghai Symphony Hall)…
Collaborations professionnelles :
Paul Gaugler a notamment travaillé avec les chefs Gaspard Brécourt, Sylvain Cambreling, Ivan Cherednichenko, William Christie, Paul Daniel, Nicolae Dohotaru, Pierre Dumoussaud, Samuel Jean, Nicolas Krauze, Lucie Leguay, Mihhail Gerts, David Molard-Soriano, Laurent Petitgirard, Rudolf Piehlmayer, David Reiland, Jean-Philippe Sarcos, Michael Schønwandt, Paul-Emmanuel Thomas, Lena-Lisa Wüstendörfer… et les metteurs en scène Róbert Alföldi, Nicola Berloffa, Dmitry Bertman, Alain Bézu, David Bobée, André Engel, Christian Gangneron, Alain Garichot, Constance-Clara Guibert, Joël Lauwers, Louise Moaty, Jean-Romain Vesperini, Justin Way…
« Le vaillant ténor Paul Gaugler en Premier Juif semble dominer l’ensemble » OLYRIX, José Pons, 7 avril 2024
« Catherine Hunold est entourée du ténor Paul Gaugler qui compose un Pollione conquérant » CULTUURPAKT, Carlo Schreiber, 28 juillet 2023
« L’on pouvait également compter sur le fort ténor de Paul Gaugler (habitué à chanter Don José ou Radamès) pour composer un Pollione héroïque dans la grande tradition. La richesse du matériau ne manque pas d’impressionner, avec un médium large et des aigus d’un beau métal. » CLASSIQUENEWS, Emmanuel Andrieu, 22 juillet 2023
« On remarque particulièrement Paul Gaugler, qui apporte à Hoffmann son autorité et son engagement dramatique, avec une voix corsée et percutante » OPÉRA MAGAZINE, Thierry Guyenne, novembre 2022
« Remplaçant in extremis NN, Paul Gaugler fait mieux que sauver la soirée, avec des couleurs peut-être plus héroïques que l’on n’en entend en général dans cette œuvre, mais tout à fait convaincantes. » CONCERTCLASSIC.COM, Laurent Bury, 11 octobre 2022
« Le ténor NN remplacé la veille, cède la place à Paul Gaugler (…) Le chanteur ne manque en effet pas d’assurance. Son timbre riche, au registre grave agréablement assombri, porte avec vaillance le Domine Deus. » OLYRIX, Emmanuel Deroeux, 12 octobre 2022
« Paul Gaugler, ténor au timbre délicat, plein de vaillance dans son Domine Deus, qui remplaçait au pied levé » PREMIÈRE LOGE-OPÉRA, 14 octobre 2022
« Paul est un ténor héroïque, dont la voix timbrée aux aigus
brillants et au riche médium, est idéale pour le répertoire de Wagner. Mais il sait
aussi la canaliser pour interpréter, en première partie du récital, des
mélodies de Reynaldo Hahn et Gabriel Fauré. Il nous a surpris et intéressés
en déclamant des poèmes de Marcel Proust intitulés « Portraits de
peintres », mis en musique par Reynaldo Hahn. »
LA LETTRE DU CYGNE, Chantal et Alain Barove, printemps 2022
« Les rôles d’Arlequin et du Soldat sont tenus par le ténor Paul Gaugler, qui conjugue aisance vocale et élégance théâtrale. L’instrument s’allume après quelques secondes et confère à sa ligne de chant l’aspect d’un serpentin doré, lunaire, qui oppose son énergie pacifique, mais solidement ancrée, aux personnages belliqueux ou sombres du plateau. » OLYRIX, Florence Lethurgez, 7 janvier 2022
« Vocalement, le ténor Paul Gaugler impressionne par ses notes très aiguës » CLASSIQUEENPROVENCE, François Jestin, 5 janvier 2022
« Enfin, le moment tant attendu, redouté en même temps puisque l’écureuil
est sans pitié pour les ténors… Au milieu des arbustes et sous les arbres, Paul Gaugler a
offert un récital allant de Faust au Pays du sourire (et combien de sourires se sont
dessinés sur les visages du nombreux public présent) en passant par des mélodies
de Reynaldo Hahn et des airs ukrainiens. Noisette sur la partition, un bis de toute beauté avec
le fameux « Amor ti vieta » de Giordano » Heureusement, Eole avait
décidé de porter ses ailes vers d’autres horizons, ce qui a permis au ténor de
n’affronter que les notes sans instruments à vent ! Voix claire mais avec des intonations plus
sombres pour sublimer le timbre, aucun vibrato, parfaite diction avec un phrasé de velours.
Voix catalysée par l’accompagnement au piano de Yann Kerninon, justesse et précision avec
ce quelque chose en plus qui personnifie chaque œuvre. Bref, je suis restée pour la
deuxième séance… »
SQUIRELITO squirelitoblogspot.com
« Le ténor Paul Gaugler se fait idéal comme Tristan » MIDI LIBRE, Michèle Fizaine, 9 mars 2022
« Le ténor strasbourgeois Paul Gaugler propose un programme surprenant et
alléchant allant d’extraits de La Walkyrie, de La Damnation de Faust, d’Ariane à Naxos,
de Norma, de Fedora… Son imposant timbre barytonnant ne l’empêche pas de passer dans les notes les
plus aiguës avec maîtrise et facilité. »
FORUM OPERA, 12 mars 2020, Jean-Claude Meymerit
« Parmi les personnages ayant relief : Paul Gaugler en Messager (prestance et intensité, comme son Dante, révélé à Saint-Etienne) » CLASSIQUENEWS, 19 février 2020, Lucas Irom
« La distribution n’y contribue pas moins, alors qu’elle est loin d’être majoritairement russe, puisqu’elle intègre deux français, avec la courte mais parfaitement dense intervention en Messager de Paul Gaugler » AVANT SCÈNE OPÉRA, 9 février 2020, Pierre Flinois
« Paul Gaugler (ténor) incarne avec un bel éclat - les moyens sont aisés et larges - le Messager. » ÔLYRIX, 31 janvier 2020, José Pons
« L’éclat vigoureux de Paul Gaugler » TOUTE LA CULTURE, 31 janvier 2020, Gilles Charlassier
« Respectivement Serviteur et Messager Luc Bertin-Hugault et Paul Gaugler sont impeccables. » CONCERT CLASSIQUE, 29 janvier 2020, Alain Cochard
« le solide Messager de Paul Gaugler » RES MUSICA, 3 février 2020, Jean-Luc Clairet
« Last but not least, les rôles de la Nourrice (Svetlana Lifar), du Serviteur (Luc Bertin-Hugault) et du Messager (Paul Gaugler) sont ici admirablement servis. » OPERA ON LINE, 7 février 2020, Emmanuel Andrieu les seconds rôles français – Paul Gaugler (le Messager), Luc Bertin-Hugault (le Serviteur) – ou grec – Alexandros Stavrakakis (Goudal) – ne déparent pas l’ensemble. FORUM OPERA, 31 janvier 2020, Christophe Rizoud
« Un futur très grand Siegmund nous est né : le ténor d'origine
strasbourgeoise Paul Gaugler, actuellement à Glyndebourne pour « La Damnation de
Faust ». L'extrait présent du premier acte de « La
Walkyrie » révèle un sens dramatique, une diction soignée et une justesse
de l'intonation dont on se languit assez souvent. Quand bien même, le tempo adopté est un
rien trop rapide.
Qu'on retienne le nom de Paul Gaugler, donnant de sa ville natale une image enfin différente !
Souhaitons qu'il rejoigne progressivement la grande soprano dramatique alsacienne Germaine Hoerner dans
les annales du chant wagnérien international … »
PHILIPPE OLIVIER, 3 juin 2019
« Dans une implication complète et une intelligibilité qui rend superflu le sur-titrage, le ténor Paul Gaugler assume vaillamment le rôle écrasant et changeant du poète, du gonfalonier, de l’exilé, de l’initié à la recherche du savoir. La richesse du médium ne compromet pas le passage à l’aigu, souvent sollicité. » OPÉRA MAGAZINE, Patrice Henriot, 4 avril 2019
« Exigeante pour les voix, la partition a trouvé ... en Paul Gaugler un Dante tout feu tout flamme » DIAPASON, Gérard Condé, 19 mars 2019
« La main de Benjamin Godard ne ménagea ni le baryton ni le ténor. Aussi Paul Gaugler, ayant à dominer une partition redoutable qui nécessite tant de souplesse que d’endurance, s’en sort-il haut la main, usant d’un aigu brillant mais jamais persifleur dans une incarnation de belle tenue. » ANACLASE, Bertrand Bolognesi, 10 mars 2019
« Le ténor Paul Gaugler impressionne autant par son lyrisme solaire que par la puissance de ses aigus. » CORSE MATIN, JMR, 27 décembre 2019
« Le personnage principal est incarné par Paul Gaugler, ténor aux accents héroïques, scéniquement sûr et maître de sa technique vocale, avec une certaine légèreté dans la conduite de ses phrasés mais une voix se montrant souvent tranchante » OLYRIX, Emmanuel Deroeux, 09 mars 2019
« Sur scène, le détenteur du rôle-titre, Paul Gaugler, détient l’essentiel des attributs héroïques. Un physique avantageux bien sûr, une ligne de chant fine et agréable ensuite. La délicatesse de son timbre et une diction parfaitement travaillée (…) une plasticité vocale agréable. » RESMUSICA, Marie Bertrande Flous ,13 mars 2019
« Paul Gaugler, en haut à droite, endosse le lourd rôle de Dante … une diction parfaite à tel point que le surtitrage devient superflu. Paul Gaugler dans le rôle-titre, très difficile à tenir sur la longueur, montre une belle épaisseur. » LE PROGRÈS, Martine Goubatian, 09 mars 2019
« Paul Gaugler. Son Faust était vraiment excellent. Brillant mais voix mûre, belle couleur, pas de difficultés dans les plus hautes notes. Très impressionnant aussi bien vieux que jeune héros. Aucun doute doute sur sa sensibilité et son émotion envers Marguerite. Une brillante fascination dans les yeux. Je pense que vous serez captivés par son Chevalier Des Grieux en mai et juin (Opéra de Poznan). Apparemment, Paul a été le meilleur Faust que j’ai entendu cette année, y compris à Berlin. » KULTURA U PODSTAW, Piotr Urbański, novembre 2019
« ... le ténor Paul Gaugler, (le jeune serviteur), est impressionnant dans le registre
très aigu... »
OLYRIX, Paula Gaubert, 31 mai 2018
« Paul Gaugler, jeune serviteur en quête d’une monture et particulièrement agile
vocalement. »
FORUM OPERA, Yannick Boussaert, 5 juin 2018
« Enfin, la même marque d’excellence touche tous les « petits »
rôles : Paul Gaugler en Jeune serviteur »
OPERA ONLINE, Emmanuel Andrieu, 30 mai 2018
Elektra à l’Opéra national de Bordeaux, l’élégance et l’incandescence
« Paul Gaugler, en jeune serviteur bien sonnant »
TOUTE LA CULTURE, Gilles Charlassier, 31 mai 2018
« Mené d’une main de maître par Paul Gaugler en Normanno » RESMUSICA, Charlotte Saulneron, 9 avril 2018
« L’Opéra National de Bordeaux a réuni une distribution en très grande majorité française. Comment ne pas s’en féliciter, lorsque cela nous permet d’entendre, dans des rôles où ils donnent le meilleur d’eux-mêmes, la basse Jean Teitgen, la mezzo Albane Carrère, les ténors Thomas Bettinger et Paul Gaugler ? » OPÉRA MAGAZINE, Pierre Cadars, juin 2018
« Les rôles secondaires n'ont pas été négligés : (…) Normanno tortueux de Paul Gaugler. » DIAPASON, Didier Van Moere, 9 avril 2018
« ... une distribution très intéressante qui, côté masculin, convoque la fine fleur du chant français. (…) » OLYRIX, Stéphane Lelièvre, 7 avril 2018
« Le ténor Paul Gaugler, qui joue notamment l’Instituteur, nous fait sombrer dans le lyrisme déroutant de l’écriture de Janáček… discourant de physique newtonienne et d’amour, l’Instituteur se lance dans des bribes mélodiques, toujours sublimes… Les sonorités de la langue tchèque augmentent encore l’étrangeté de cette écriture, et emportent le public dans des forêts fantasques. » OLYRIX, Adrien Alix, 21 mars 2017
« ... les nobles du Brabant sont sans reproche - Jean-Vincent Blot, Florent Cafiero, Paul Gaugler et Julien Véronèse - » FORUMOPERA, Maurice Salles, 16 octobre 2016
« Incarnant le malheureux Instituteur, Paul Gaugler anime son timbre ciselé de ténor avec une verve et une véritable excellence. On retrouve avec plaisir une expressivité solaire et herculéenne qui sculpte la partition de Janacek sans perdre les nuances du texte. » CLASSIQUENEWS.COM, Pedro-Octavio Diaz, 5 juin 2016
« le ténor Paul Gaugler impressionne autant par la qualité de son chant que par sa diction. » LE FIGARO, Thierry Hillériteau, 11 avril 2016 « Quant au « Disparu » il reviendra à Paul Gaugler qui depuis son Octavio des Fêtes Galantes pour William Christie a fait bien du chemin : il est l’un de nos plus beaux jeunes ténors... » CONCERTCLASSIC.COM, Jean-Charles Hoffelé, janvier 2016 « ... la souplesse - physique et vocale... Clarté mêlée de violence intérieure de Paul Gaugler... » WEBTHEATRE, Caroline Alexander, 10 avril 2016
« Remarqué dans la Katia Kabanova présentée en 2012 aux Bouffes du Nord, Paul Gaugler est un Instituteur délicieusement désemparé. » FORUMOPERA.COM, Laurent Bury, 16 janvier 2016 « On ne résiste pas plus (...) à l’instituteur de Paul Gaugler... » CONCERTCLASSIC.COM, Alain Cochard, février 2016 Le portrait du lundi « Paul Gaugler, un ténor qui sait mourir sur scène » L'ALSACE, Ursula Laurent, 27 janvier 2014
« Paul Gaugler, son jeu et sa voix, trop parfaits... » CLASSICAGENDA, Constance Clara Guibert, 19 décembre 2014
« L’Ange si pur tiré de La Favorite, de Donizetti, lui a porté chance: le jeune ténor alsacien Paul Gaugler vient de recevoir le prix spécial à l’unanimité du jury, de la meilleur interprétation d’un air en français, au concours international de Bel Canto Vincenzo Bellini… Formé au conservatoire de Strasbourg, le jeune chanteur poursuit une belle carrière internationale. » DERNIERES NOUVELLES D’ALSACE, 5 novembre 2013
« Le ténor français Paul Gaugler a montré des moyens impressionnants : vocalises di forza dans l’Armida de Rossini, suraigus percutants dans I puritani et Il pirata. Sa solide technique et son indéniable autorité lui ont valu le Prix Spécial pour la meilleure interprétation d’un air en français, grâce à La Favorite. » OPÉRA MAGAZINE, Thierry Guyenne, décembre 2013 « C'est l'occasion de découvrir deux voix parmi les plus prometteuses d'aujourd'hui, remarquées par le jury du Concours International Vincenzo Bellini. (...) Valeria Tornatore et Paul Gaugler, deux timbres et deux tempéraments à suivre désormais. » CLASSIQUENEWS.COM, Adrien De Vries, 13 février 2013
« Le jeune ténor alsacien Paul Gaugler campe un Boris séduisant tant scéniquement que vocalement ; le jeune homme, que nous avions déjà salué à l'occasion du concours international Bellini, a une voix chaleureuse, ronde et parfaitement maitrisée. » CLASSIQUENEWS.COM, Hélène Biard, 9 mai 2013
« Les chanteurs sont valeureux - à commencer par Paul Gaugler, Siegfried tel qu’on le rêve » MUSIKZEN, François Lafon, 4 mai 2012 « Paul Gaugler a le physique et le timbre d'un "jugendlicher Heldentenor". » CHANTEUR.NET, Alain Zürcher, 2 mai 2012 « ... et, plus encore, le Siegfried solide et musical de Paul Gaugler, déjà remarqué dans Katia Kabanová aux Bouffes du Nord en janvier dernier, n’a pas de mal à s’imposer. » CONCERTO.NET, Simon Corley, 11 mai 2012
« Boris sincère et entêté, est très bien défendu par Paul Gaugler. » LE FIGARO, Armelle Héliot, 1er février 2012 « Campant un Boris sincère et insouciant, Paul Gaugler a excellemment compris combien l’émission vocale propre à la langue tchèque induit un raffiné et précis travail des registres vocaux. » RESMUSICA, Franck Langlois, 28 janvier 2012 « Paul Gaugler est criant de vérité en Boris jeune homme sincère » THE PARISER, Jean-François Bouthors, 24 janvier 2012
« Le ténor Paul Gaugler revient pour l'inévitable « Nessun dorma » de Puccini, où il confirme qu'il est le choix idéal, avec sa voix ronde et son émission très lyrique. » ODB OPÉRA, Anh Tuan Nguyen, 13 mars 2011
« La distribution vocale comprend des rôles secondaires masculins, solidement tenus par (...) le ténor Paul Gaugler... » CONCERTO.NET, Simon Corley, 2008
Compositeur | Spectacle | Rôle | Salle |
---|---|---|---|
Bellini | Norma | Pollione | Opéra national de Chisinau |
Berlioz | La Damnation de Faust | Faust | Festival de Glyndebourne (cover) |
Bizet | Carmen | Don José | Opéra national de Lviv |
Campra | L’Europe galante | Octavio | Festival d’Ambronay + tournée |
Godard | Dante | Dante | Opéra de Saint-Étienne |
Gounod | Faust | Faust | Opéra de Poznań |
Janacek | Katia Kabanova | Boris | Théâtre des Bouffes du Nord |
Le Journal d’un Disparu | Janik | Arcal, Festival d’Île-de-France | |
Massenet | Ariane | Thésée | Oratoire du Louvre |
Cléopâtre | Spakos | Salle Cortot | |
Milhaud | Le Pauvre Matelot | Matelot | Tournée Arcal |
Mozart | Die Zauberflöte | Tamino | Palais des Festivals de Cannes |
Offenbach | Les Contes d’Hoffmann | Hoffmann | Théâtre de Saint-Dizier |
Pécou T. | Les Sacrifiées | Charles / Sélim | Arcal, Opéra de Rouen, Massy, Reims |
Petitgirard | Guru | Victor | Operą de Szczecin |
Purcell | Dido and Aeneas | Aeneas | Maison de la musique de Nanterre |
The Fairy Queen | Phoebus | CNSMDP + Opéra de Rouen | |
Rubinstein | The Demon | Ganiet | Opéra national de Bordeaux |
Strauss R. | Ariadne auf Naxos | Bacchus | Royaumont |
Elektra | Junger Diener | Opéra national de Bordeaux | |
Salome | Erster Jude | Opéra-Théâtre Eurométropole de Metz | |
Tchaïkovski | Eugène Onéguine | Lenski | Festival d’Ainay-le-Vieil |
Ullmann | Der Kaiser von Atlantis | Harlekin / Soldat | Grand Théâtre d’Aix-en-Provence |
Verdi | Aida | Radamès | Opéra national de Chisinau |
Rigoletto | Duca di Mantova | Opéra Pilsen, Théâtre national Szeged | |
Traviata | Alfredo | Festival Les Pierres Lyriques | |
Wagner | Lohengrin | Brabantische Edle | Opéra national de Montpellier |
Ring (version adaptée) | Siegfried (extraits) | Théâtre de l’Athénée, Opéra de Reims | |
Tannhäuser | Heinrich der Schreiber | Opéra de Rouen | |
Bach J.S. | Magnificat | ||
Messe in G Moll (G minor) | |||
Messe in H Moll (B minor) | |||
Kantate BWV 42: Am Abend aber desselbingen Sabbats | |||
Kantate BWV 87: Bisher habt ihr nichts gebeten in meinem Namen | |||
Kantate BWV 156: Ich steh mit einem Fuss im Grabe | |||
Kantate BWV 166: Wo gehest du hin | |||
Beethoven | Messe in C Dur | ||
Phantasie für klavier, Chor und Orchester | |||
Symphonie Nr. 9 | Opéra de Saint-Étienne | ||
Berlioz | L'Enfance du Christ (Le Récitant) | Palais des Fêtes de Strasbourg | |
Bruckner | Requiem | ||
Te Deum | |||
Dvorak | Mass in D Major | ||
Requiem | |||
Stabat Mater | Philharmonie nationale de Lviv | ||
Franck | Les Sept Paroles du Christ en Croix | ||
Gounod | Messe Solennelle Sainte Cécile | ||
Janacek | Mass according to the Mass for organ of Liszt | Royaumont | |
Unfinished mass in E flat Major | |||
Mozart | Krönungsmesse | ||
Missa in C Moll KV 427 | |||
Missa Solemnis in C Dur | |||
Requiem | |||
Waisenhausmesse | |||
Pärt | Miserere | ||
Puccini | Messa di Gloria | ||
Respighi | Lauda per la natività del Signore | France Musique, Sainte-Clotilde, Paris | |
Rossini | La Petite Messe solennelle | Radio Classique + Les Invalides, Paris | |
Stabat Mater | |||
Saint-Saëns | Le Déluge | ||
Oratorio de Noël | |||
Requiem | |||
Stravinski | Threni (orchestration : K. Hubert) | Amphithéâtre de l’Opéra Bastille | |
Verdi | Requiem | Opéra de Saint-Étienne |
"Winterstürme wichen dem Wonnemond" Die Walküre, Richard Wagner, Paul Gaugler
Lviv National Philharmonic Symphony Orchestra
Maestro Serhiy Khorovets
Paul Gaugler is Siegmund
"Rachel, quand du Seigneur" - La Juive, F. Halévy - Laurent Petitgirard - Paul Gaugler
Orchestre de Picardie, Orchestre National en Région Hauts-de-France
Direction Laurent Petitgirard
Auditorium de l’Institut de France
Prise de son Etienne Collard
Paul GAUGLER : Pollione “L’empio altar abbatterò!” Norma
National Opera House Chisinau
Paul GAUGLER - Beijing Forbidden City Theater - Carmen - Don José
Les Artistes de l'Opéra Hors les Murs/Musiciens de l'Orchestre de l'Opéra de Paris
Jean-Michel Ferran : Arrangement & Direction
Carmen : Carmen
Teona Todua : Micaela
Paul Gaugler : Don José
Yiorgo Ioannou : Escamillo